Céline : les Simone ?

Moi : trop marqué.

Céline : Blondie ?

Moi : pourquoi pas …

Céline : Mazette !

Moi : oh pu****, c’est ça.

Dans la vie, on ne choisit ni son prénom, ni son nom. Parfois son surnom. Alors décider d’un nom pour sa boite, son extension professionnelle, c’est une superbe occasion.

La tempête de cerveaux a duré quelques semaines, jusqu’à l’évidence. Mazette !, littéralement mauvais petit cheval – mais ce n’est pas ce qu’on retiendra, c’est tout ce qu’on souhaitait dire :

  • Une interjection pour l’idée de surprise
  • Une sonorité féminine pour deux fans de Delaume ou Tuaillon
  • Une référence à la culture de notre terre d’adoption, le mazet.
Tilde Mazette !

Ce qu’on retient : le nom, c’est à la fois un coup de cœur et aussi un choix rationnel. Un mélange de raisons et de sentiments. On doit s’y sentir bien, se sentir fier·e et penser aussi à l’air du temps. Il faut passer du temps pour le faire germer et se laisser guider par son intuition pour trancher.